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lundi 22 février 2016

4.Châtel-Guyon

Vue de la ville.Vue de la ville



Blason de Châtel-Guyon                                                  Châtel-Guyon
Blason                                                        Logo de la ville



Région: Auvergne-Rhône-Alpes


Département: Puy-de-Dôme


Arrondissement: Riom


Canton: Châtel-Guyon


Maire: Frédéric Bonnichon


Mandat: 2014-2020


Code postal: 63140


Code commune: 63103


Gentilé: Châtel-Guyonnais ou Brayauds


Population municipale: 6 131 hab. (2013)


Densité: 436 hab./km²


Superficie: 14,06 km²


Site web: http://www.chatel-guyon.fr



Châtel-Guyon est une commune française, située dans le département du puy-de-Dôme en région d'Auvergne-Rhône-Alpes.Elle est une station thermale qui fait partie de l'aire urbaine de Clermont-Ferrand.


Les habitants s'appellent les Châtel-Guyonnais mais sont très souvent appelés les Brayauds pour des raisons historiques et géographiques.


L'orthographe actuelle du nom, d'usage ancien, n'est officielle que depuis 2007. Auparavant, l'orthographe retenue par l'INSEE et le Code officiel géographique était Châtelguyon.



Géographie

Localisation


Châtel-Guyon se trouve à 20km au nord de Clermont-Ferrand, à 7km au nord-ouest de Riom, et à 32km du Puy-de-Dôme.


Châtel-Guyon est une ville fleurie, avec trois fleurs, qui s'allonge au bord de la rivière du Sardon.


La commune est composée des villages de Châtel-Guyon, le Bournet, Saint-Hippolyte, Rochepradière et les Grosliers. Le hameau du Bournet, autrefois sur la commune de Loubeyrat, est celui le plus élevé, à une altitude de 670m.


Toponymie


Castellum Guidonis



Les habitants de Châtel-Guyon (étymologiquement, le château d'un "certain" Guidon I Guy II d'Auvergne) s'appellent les Brayauds, du nom du pays de Brayaud qui s'étend autour de la ville. Les paysans d'alentour ont très longtemps porté des braies, sorte de pantalons étroits, comme leurs ancêtres les Gaulois.


Histoire


Le château de Guy II


Château et village de Châtel-Guyon vers 1450 (dessin inspiré de l'Armorial d'Auvergne de Guillaume Revel)


Le nom de Châtel-Guyon vient de "Château de Guy". Guy II d'Auvergne, comte d'Auvergne de 1194 à 1222, fit construire un bastion en 1185 sur la colline du calvaire, pour protéger Riom. Le château, aujourd'hui disparu, se composait d'une enceinte carrée, flanquée de trois tours circulaires, comme le montre le dessin de Guillaume Revel dans l'Armorial d'Auvergne vers 1450.


Avec son frère Robert, évêque de Clermont, Guy II se disputa beaucoup. Le roi de France Philippe-Auguste lui confisqua donc son domaine, qui fut transmis, à l'occasion de règlement de la succession de Géraud de Maulmont aux héritiers de la famille de Maulmont.


En 1198, le nom du village était Castrum Guidonis, ensuite Châteauguion au XVe siècle, Chastelguion au XVIIe siècle et Châtel-Guyon aux XIXe siècle.


Le prieuré de Saint-Coust de Châtel-Guyon


Le prieuré de Saint-Coust et le village de "Saint-Coust Chatelguion" sur la carte de Cassini (vers 1777)


Au sud du village des Grosliers (territoire communal de Châtel-Guyon), sur le chemin dit du prieuré, subsistent quelques ruines du prieuré de Saint-Coust qui aurait été fondé par l'abbaye de Mozac sous le pape Adrien IV (1154-1159) qui précisa dans une bulle non datée les possessions de Mozac. Dans une autre bulle de 1165, le pape Alexandre III confirme les dépendances de l'abbaye de Mozac dont Saint-Coust.


Cette église est appelée Ecclesiam de Sana-Cultura qui a donné par déformation "Saint-Coust" en français. L'expression latine sana cultura peut signifier "saine et bonne culture" grâce aux activités agricoles du lieu, ou bien "culte sage".


Les bâtiments de l'église et du prieuré semblent désaffectés dès la fin du XVIIe siècle. En 1721, l'évêque interdit l'utilisation de l'édifice et du cimetière tant que des réparations ne sont pas entreprises. En 1792, le directoire du district de Riom décide la suppression de la cure de Saint-Coust et sa mise en vente, sans opposition de la première municipalité qui n'hésite pas à se débarrasser d'une charge trop importante. Les officiers municipaux affirment que l'église n'a jamais été rendue au culte depuis son interdiction en 1721 et que l'abbé de Mozac l'a toujours très mal entretenue. Les bâtiments sont abandonnés, aujourd'hui on ne distingue que des fondations et des pans de murs écroulés à travers les ronces.


Une ville thermale construite ex nihilo


La construction de la ville de Châtel-Guyon diffère de celle des autres stations thermales. Elle n'a pas été bâtie autour des sources au temps des Gallo-Romains, comme les autres villes d'eaux auvergnates, mais autour du calvaire où les paysans cherchèrent protection.La vie paysanne s'organisa principalement autour de la vigne.


Châtel-Guyon les Grands Thermes



A la découverte de la propriété des eaux de Châtel-Guyon, un quartier thermal somptueux vit le jour. La ville est située en bordure de l'une des plaines les plus fertiles de France: La Limagne. D'une altitude de 409m, elle s'allonge au bord de la rivière du Sardon. Châtel-Guyon marque aussi l'entrée dans le parc naturel régional des Volcans d'Auvergne et dans le massif des Combrailles.


Le calvaire marque l'emplacement de l'ancienne forteresse du comte Guy II (carte postale en vente à l'office de tourisme). Suite à des querelles qui opposèrent Guy II à son frère, le roi de France lui confisqua son domaine. Les guerres du temps endommagèrent la citadelle qui fut démantelée sur ordre de Riom en 1595. Châtel-Guyon doit son nom au comte d'Auvergne, Guy II, car la citadelle s'appelait alors Castrum Guidonis (château de Guy), puis Castel Guidonem et enfin "Châtel-Guyon".


L'église Sainte-Anne fut édifiée en 1845 et rénovée en 1956. Cette église est remarquable pour ses 900m² de fresques d'inspiration byzantine. Nicolas Grescny mit 60 jours pour achever cette oeuvre. Les verrières sont l'oeuvre d'un artiste suisse, Yoki de Fribourg et sont réalisées en dalle de cristal de Baccarat de 15mm d'épaisseur dans du ciment armé.



Sources Deval et Germaine


Comme la plupart des stations thermales de France, Châtel-Guyon se dote d'un casino construit en 1901 et agrandi en 1908. En cours de classement aux Monuments historiques, il a été revu et corrigé par le célèbre Edouard Niermans, architecte du Moulin Rouge, du Casino de Paris et du Negresco à Nice. A la fin XVIIe siècle, les sources jaillissent déjà avec un bruit particulier qui leur vaut le nom de Gargouilloux. C'est en 1671 que le chimiste Duclos réalise les premières analyses. En 1817, la municipalité décide de construire un établissement de bains. Ne pouvant rénover cet établissement, la municipalité organise une concession des sources aux frères Brosson, hommes d'affaires réputés. En 1906, un nouvel établissement remplace l'ancien établissement Brosson: les Grands Thermes. Les Grands Thermes s'inspirent de l'Art roman auvergnat. L'établissement se compose de quatre corps de bâtiment: le hall d'entrée et deux ailes consacrées aux bains, regroupés autour d'un atrium. Le hall a une superficie de 200m² et une hauteur de 9m se terminant par une voûte en stuc aux caissons ornés de rosaces avec deux escaliers aux courbes gracieuses. Le sol est couvert de mosaïques et de carreaux de grès.Les murs portent des carreaux de faïence polychrome et des frises en émaux or, vert et bleu.


Au temps des Années folles, des sultans, des rois arabes, des notables d'Afrique ou encore des maharadjahs des Indes fréquentent la station. En 1886, Guy de Maupassant séjourna à Châtel-Guyon, lieu où il situa son roman Mont Oiol.Le parc thermal abrite les différentes sources répondant au nom de Marguerite, Germaine, Yvonne, Louise. Les eaux de Châtel-Guyon sont uniques en Europe pour leur teneur en magnésium.La station est spécialisée dans les soins de l'appareil digestif et urinaire, et des maladies métaboliques. 


Depuis novembre 2008, la station est agréée pour le suivi des cures en rhumatologie.


Agrandissement de la commune en 1973 et 2007


Les communes de Châtel-Guyon et de Saint-Hippolyte ont fusionné en deux temps: en 1973, par fusion avec maintien de Saint-Hippolyte comme commune associée conservant un maire délégué, puis en juin 2007, par transformation en fusion simple des deux communes. C'est à l'occasion de cette dernière fusion que l'orthographe actuelle de Châtel-Guyon (qui était déjà d'usage localement) a été officialisée à la place de Châtelguyon.


Jumelages

Châtel-Guyon est jumelée avec Montmagny(Québec).


Démographie


Au recensement de 1968, le dernier avant la fusion de Saint-Hippolyte avec Châtel-Guyon en 1973, la commune de Saint-Hippolyte comptait 670 habitants. Ainsi , le recensement suivant de la commune de Châtel-Guyon en 1975 comprend aussi celui de l'ex-commune de Saint-Hippolyte, Châtel-Guyon passe de 2 982 à 3 530 habitants, soit un gain de 548 habitants.


Avec 6 133 habitants en 2006, Châtel-Guyon est la quinzième commune la plus peuplée du département du Puy-de-Dôme. Parmi les communes de plus de 5 000 habitants, elle a enregistré le plus fort taux de progression démographique entre les recensements de 1999 et de 2006:+2,3%.


En 2013, la commune comptait 6 131 habitants. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. A partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans, contrairement aux autres communes qui ont une enquête par sondage chaque année.


Manifestations culturelles et festivités 

Depuis 14 ans, le festival Jazz aux Sources fait revivre la tradition originelle du jazz à danser made in New Orléans à Châtel-Guyon. Chaque année pendant le week-end de la Pnetecôte, des danseurs de be-bop, de lindy-hop et de claquettes viennent de toute la France pour participer aux stages et évoluer au rythme des improvisations des meilleurs groupes de jazz traditionnel. Au son du swing festif et sur les pas des danseurs, le public est entraîné dans les rues par la parade et sur les pistes de danse du parc thermal. A la tombée de la nuit, c'est dans les bars, les restaurants et à la salle des fêtes que le public et les danseurs se retrouvent pour continuer la fête jusqu'à l'aube.



Le festival Jazz aux Sources



Culture locale et patrimoine


Lieux et monuments

Châtel-Guyon offre, grâce à son histoire et à ses acteurs, de magnifiques visites pour les passionnés de culture, d'histoire et d'architecture.


La gare 

Centre culturel de la Mouniaude


La gare de Châtel-Guyon constituait le terminus de la ligne ferroviaire Riom-Châtelguyon. Cette ligne, concédée à la PLM-Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à Méditerranée- en 1907, fut ouverte aux voyageurs en 1912 et inaugurée par Etienne Clémentel. Elle resta en service jusqu'en 1972. Le tronçon Mozac-Châtelguyon (soit environ 3km) fut même déposé dès 1973.


Construite de 1910 à 1912 par l'architecte Marius Toudoire, également à l'origine de la gare de Lyon, elle a été transformée en Centre culturel avec ses quatre salles et son théâtre de verdure. La Mouniaude, inscrite à l'inventaire des Monuments historiques, accueille toute l'année des conférences, expositions et activités associatives, le plus souvent culturelles, mais également des mariages.


Le théâtre


Le théâtre de Châtel-Guyon



Inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques depuis 2003, le théâtre de Châtel-Guyon, symbole de la Belle Epoque, incarne le lieu de rendez-vous théâtral, musical et cinématographique de la cité thermale jusqu'à se fermeture en 2004.


Edifié en bordure du parc thermal en 1898 par l'architecte parisien Albert Le Voisvenel, le théâtre-casino de Châtel-Guyon ouvre ses portes en 1901. Dès 1907, en raison d'une grande affluence dans la station, des travaux d'aménagement du bâtiment sont envisagés. En 1909, Edouard-Jean Niemans, architecte et décorateur renommé, réalise les travaux pressentis. Avec à son actif les Folies Bergère (1900), le Moulin Rouge (1903), le théâtre music-hall de l'Olympia (1904), ou encore l'hôtel Negresco à Nice, Niermans agrandit et embellit le casino. Il double sa surface. Le théâtre est entièrement reconstruit, sur le modèle des salles à l'italienne. Le sol est abaissé de 2m et deux galeries supérieures avec loges et balcons sont créées. Un toit ouvrant innovant est également installé. Cette dernière caractéristique en fait une salle unique en France.


Durant plus d'un siècle ont été présentées en ce lieu des pièces de théâtre, interprétées par les plus grands comédiens, telles que L'Ami Fritz, Pomme d'Api et Bagatelle. On y entendait aussi les opérettes en vogue du moment. Après guerre, se sont produits sur ses planches de nombreux artistes comme Jacques Brel, Line Renaud ou Dalida. Le spectacle était non seulement sur la scène mais aussi dans la salle, car nombreuses étaient les personnalités qui séjournaient dans la ville thermale et venaient se divertir au théâtre.


Au milieu des années 1980, parallèlement à la diminution de la fréquentation thermale, le théâtre réduit sa programmation et finit par fermer ses portes en 2004. Laissé à l'abandon depuis sa fermeture, la ville de Châtel-Guyon décide de le racheter, le 22 décembre 2009, pour faire revivre ce lieu de culture. D'importants travaux de restauration, intérieurs et extérieurs, ont débuté en décembre 2013.

L'église Sainte-Anne










  










Fresques de l'église Sainte-Anne


L'église Sainte-Anne a été construite en 1845 sur une colline appelée "le Calvaire". Elle a rénovée en 1956.

 Elle comprend 800m de fresques réalisées en 1956 par Nicolas Greschny, qui retracent toute l'Apocalyse (dernier livre du Nouveau Testament). Dans le choeur est représentée la divine liturgie du Ciel et de la Terre. Les instruments liturgiques sont en léger relief et dorés à la feuille.

A la Libération, Greschny est seul, exilé. Sa patrie, l'Estonie, est devenue une république soviétique. Il s'installe dans le Tarn, crée un atelier d'iconographie et orne plusieurs églises de fresques. En 1956, le chanoine Puyau, curé de la paroisse, prend l'initiative, hardie à l'époque, de lui demander d'exercer ses talents à Châtel. Il va réaliser la prouesse artistique et technique de couvrir de fresques la totalité des voûtes de l'église sans maquette et sans projet écrit durant l'hiver 1956 ( l'un des plus froids du siècle!)

Les vitraux de l'église ont été réalisés en cristal de Baccarat


Le calvaire



Calvaire vue aérienne


Sur la colline appelée le Calvaire, il y a une croix des missions depuis 1884. Le 15 août, des fidèles défilent avec des flambeaux jusqu'à la croix.


 Au sommet du Calvaire, il y a une table d'orientation, où on repère les éléments du paysage: la vallée des sources, le mont Chalusset' le Puy de Dôme, etc...



La colline du marque l'emplacement de l'ancien château fort du comte d'Auvergne, Guy II (mort en 1224), qui a donné son nom à la commune (Châtel-Guyon signifie par déformation château de Guy II).


La vallée des Prades et le château de Chazeron


La vallée des Prades est un site touristique pour les passionnés de randonnée.


En 1940, Blum, Daladier, Paul Reynaud et Gamelin furent enfermés à Chazeron, car ils étaient jugés responsables de la défaite de juin 1940 par le Régime de Vichy.


Aujourd'hui, les propriétaires de Chaperon ont installé dans ce château, le CRISTAL (Centre de recherches et d'informations scientifiques, techniques, artistiques et littéraires qui expose et vend des oeuvres et des meubles, organise des spectacles.


La vallée des Prades et le château de Chazeron


La vallée des Prades est un site touristique pour les passionnés de randonnée.



En 1940, Blum, DAladier, Paul Reynaud et Gamelin furent enfermés à Chazeron, car ils étaient jugés responsables de la défaite de juin 1940 par le Régime de Vichy.


Aujourd'hui, les propriétaires de Chazeron ont installé dans ce château, le CRISTAL (Centre de recherches et d'informations scientifiques, techniques, artistiques et littéraires) qui expose et vend des oeuvres et des meubles, organise des spectacles.


La vallée de Sans-souci


La vallée de Sans-Souci est parcourue par le Sardon qui traverse Châtel-Guyon. 


Le ruisseau débute par la cascade del'Ecureuil.


Les bois qui recouvrent les deux versants de la vallée faisaient autrefois partie de la propriété de Chazeron.


Autres


Pierre de dîme à la place de l'Orme   



.La pierre de dîme, place de l'Orme (une autre est visible sur la commune voisine de Prompsat)


Equipements culturels 


Les thermes et le casino


Chatel Guyon-Les Grands Thermes


A la fin du XVIIe siècle, les sources jaillissent avec un bruit particulier et sont appelées le "Gargouilloux".La première source s'est épuisée en 1870.


En 1817, la ville décide de construire un établissement de bains. Vers 1830, les sources sont exploitées par Camille Brosson qui construit un établissement thermal. En 1900, on construit un théâtre, les Grands thermes et le Casino, Châtel-Guyon devient une grande station thermale.


En 1886, Guy de Maupassant séjourna à Châtel-Guyon; il évoquera plusieurs fois la station dans son oeuvre littéraire.


Il y a douze sources thermales qui soignent surtout les maladies gastro-intestinales et les rhumatismes. Les eaux de Châtel-Guyon sont uniques en Europe pour leur teneur en magnésium.La station est spécialisée dans les soins de l'appareil digestif et urinaire et des maladies métaboliques. Leur température va de 18°C à 37°C.


Depuis nombre 2008, la station est agréée pour le suivi des cures en rhumatologie.


Thermalisme


Les Thermes de Châtel-Guyon sont spécialisés dans le traitement des maladies de l'appareil digestif et urinaire et des affections rhumatismales. Station du mieux-être et de l'anti-stress, Châtel-Guyon tire son originalité de ses eaux à très haute teneur en magnésium, uniques en Europe.


Les eaux des cinq sources qui jaillissent à Châtel-Guyon, au coeur du parc thermal, régulent la motricité du tube digestif et atténuent les spasmes. Elles ont une action cicatrisante sur la muqueuse intestinale, normalisent la flore intestinale, stimulent la sécrétion biliaire (effet chholérétique) et celle du pancréas et sont anti-toxiques et anti-allergiques.Leur richesse en magnésium explique leur action anti-douleur (en particulier dans les pathologies rhumatismales), anti-fatigue et anti-stress.


Personnalités liées à la commune


.L'écrivain Guy de Maupassant a fait de nombreux séjours à Châtel-Guyon


.Nicolas Hartmann: cycliste qui y a résidé plusieurs années (de 2007 à 2010).


.Alexandre Vialatte venait faire fidèlement sa cure, tous les ans, chez le docteur Roland Cailleux


.Le docteur Pierre Balme, historien et chantre de l'Auvergne, fondateur de la revue L'Auvergne littéraire, a exercé dans les années 1930 les fonctions de directeur des thermes


.Roland Cailleux, écrivain et gastro-entérologue de 1935 à 1977 à Châtel-Guyon, lauréat du prix de Neufchâteau, décerné par le professeur Henti Mondor, en 1951, pour son livre Saint-Genès ou la vie brève


.Christian Dedet, écrivain, ami de Cailleux et de Vialatte, a exercé comme gastro-entérologue pendant toute sa vie professionnelle


.Le général de La Porte du Theil, fondateur et commissaire général des Chantiers de la Jeunesse y avait installé le siège de cette organisation, de 1940 à 1944.


Blason


Blason de l'Auvergne
Les armes de Châtel-Guyon sont les mêmes que celles de la famille des comptes d'Auvergne et donc de la province, puisque le village a pris le nom du comte Guy II au XIIIe siècle en raison de la présence d'un de ses châteaux.

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